Aujourd’hui encore, beaucoup de compétences ne sont pas enseignées aux étudiant(e)s des écoles d'esthétique : diriger une entreprise, manager des collaboratrices, vendre un soin, poser les bonnes questions à un(e) client(e), gérer un stock de produits, utiliser des logiciels de gestion ou encore organiser un événement… c’est tout un tas de connaissances primordiales qui ne sont pas abordées sur les bancs des écoles et qu’il faut donc acquérir sur le terrain.
Un manque de pratique des étudiant(e)s...
Ce sont bien les stages qui permettent aux jeunes diplômé(e)s de se former. Alors quand ces derniers arrivent sur le marché du travail de l’esthétique, il est possible qu’ils n’aient jamais pratiqué certaines techniques. Certains manquent d’expérience professionnelle : ils n’ont jamais été confrontées à la réalité du terrain, que ce soit pour gérer des tâches administratives ou utiliser certaines nouvelles technologies.
« Sans formation préalable, comment voulez-vous que les filles réussissent à faire perdurer leur institut ? » se demande Justine Fuchey, responsable commerciale cosmétique LPG®. « Sur 100 instituts, il y en a 5 qui peuvent me donner leur rentabilité horaire et m’expliquer en détail leurs chiffres et leur gestion hebdomadaire ». La période de confinement a mis tous ces écueils à la lumière du jour : « On se retrouve avec des esthéticien(ne)s qui peinent à s’adapter aux crises, c’est terrible » ajoute Justine. |
Le manque de pratique durant les années d’études est donc un vrai sujet, il est du devoir des responsables pédagogiques de pallier ces problèmes. « Il faudrait organiser plus d’interventions de professionnels et de conférences avec des acteurs du secteur de l’esthétique ou encore des gérant(e)s d’institut », propose Justine, très engagée sur la question des écoles au sein de LPG Systems. « En tant que marque et entreprise, nous avons aussi notre responsabilité ; C’est pour cela que la formation est un point majeur ».
... qui pénalise l'ensemble de l'équipe de l'institut esthétique.
Par ailleurs, ce manque de bagage professionnel a des conséquences pour les gérant(e)s d’institut qui accueillent des jeunes esthéticien(ne)s non formé(e)s aux subtilités du métier. Les gérant(e)s doivent donc faire preuve d’une grande capacité d’adaptation, prendre le temps de former, d’accueillir, d’expliquer et de manager.
Les jeunes diplômé(e)s aussi doivent se montrer agiles et se former proactivement, apprendre et engranger le maximum d’informations en peu de temps. Passer de la théorie à la pratique en quelques semaines demande de l’habileté… et beaucoup de motivation ! En se formant sur le tard, ils/elles vont acquérir des compétences tangibles, précieuses et utiles. « Alors oui, cela demande un peu de temps, mais c’est un bon test pour savoir si le/la jeune esthéticienne est vraiment motivé(e) ou pas », ajoute Justine.
Quand cette situation se présente, ni le/la gérant(e) ni le/la jeune esthéticien(ne) ne sont laissé(e)s de côté. La marque LPG met à disposition de nombreux outils et services permettant à l'esthéticien(ne) d'acquérir toutes ces connaissances plus facilement. Il y a par exemple le suivi régulier des responsables commerciaux (cosmétique ou technologie), comme Justine. Elle précise d’ailleurs : « Pour nos clientes fidèles, on peut se déplacer toutes les 6 semaines ». Ce suivi personnalisé permet de faire des piqûres de rappel et de les aiguiller au mieux dans leurs questionnements (gestion des stocks, planning, vente…), ou bien encore de renforcer la formation.
La marque LPG® propose un suivi optimal et de qualité à toutes les esthéticiennes et gérantes d’institut. C’est une entreprise disponible et à l’écoute de ses collaborateurs. « Il y a plusieurs solutions intermédiaires auprès de qui les filles peuvent trouver de l’aide » indique Justine. Il existe des groupes Facebook, des newsletters ainsi qu’une hotline.
Derrière chaque service proposé par la marque LPG®, il y a toujours un humain.